Diplômé des arts appliqués et artiste depuis plus de 20 ans, il a expérimenté différentes techniques artistiques à l’aube des années 2000 : peinture sur carton marouflé, dessin « froissé », collage et technique mixte.
Il a évolué ensuite vers le numérique afin de s’aventurer délibérément en terre inconnue, faisant sienne cette phrase de Joan Miro « il faut tuer la peinture pour y revenir d’une autre manière ».
Au cœur de ce nouveau médium, papier, pierre, peinture, sculpture, fer, transparences et éléments graphiques fusionnent, s’entremêlent et s’entrechoquent, forgeant un vocabulaire visuel singulier et hybride. Le « collage digital » permet en effet de mélanger différents genres artistiques et ainsi de tenter d’explorer de nouvelles interprétations du monde.
L’accélération effrénée de l’histoire et le périssable institutionnalisé réduit le passé à l’état de simple palimpseste. Quand l’économie capitaliste néo-libérale prend le pas sur l’humanité, l’individu est-il encore capable de s’adapter ? C’est la mesure de ce désordre que son travail décèle. C’est dans la portée de cette forme d’entropie qu’il se révèle.
Afin de ne rien rater de l’actualité de M•A•U•M, inscrivez-vous à la newsletter.
Vous serez informés lors de la mise en ligne de nouvelles visites virtuelles, et de la mise en place de nouvelles fonctionnalités.